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Quelles sont les quatre méthodes de fertilisation ?

Isaac Richard
Isaac Richard
2025-08-06 16:30:12
Nombre de réponses : 16
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Plusieurs essais d’ARVALIS et de partenaires insistent sur l’intérêt d’un fractionnement en quatre apports, stratégie permettant de répartir les risques, de gagner en protéines, et dans 25 % des cas, d’aller chercher quelques quintaux supplémentaires. Il faut donc commencer à réfléchir aux apports d’azote à ce stade. La probabilité de cumuler 15 mm de pluie dans les 15 jours suivant un apport (pour une valorisation optimale de l’engrais) est plus élevée en avril – mai qu’en mars dans notre région : si l’apport prévu à épi 1 cm est élevé (> 100 unités) et que les conditions sont sèches, le fractionnement de cet apport sera judicieux, avec un report d’une part de cet engrais entre 1 et 2 nœuds, au plus proche des épisodes de pluies. C’est pourquoi, pour de nombreuses variétés comme Chevignon ou KWS Extase, il est essentiel de mettre en réserve 20 unités supplémentaires (bc = 0,2), soit 60 unités, pour la fin de cycle afin d’assurer un taux de protéines correct ! Figure 1 : Gains de rendement obtenus avec quatre apports d’azote vs trois – 38 essais Nord France – 2012 à 2019
Xavier Verdier
Xavier Verdier
2025-08-06 15:03:53
Nombre de réponses : 14
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Qu'ils préfèrent l'application foliaire, la fertilisation en plein champ, l'application au sol ou la culture en serre, nos engrais restent efficaces et faciles à utiliser selon différentes techniques de culture. Cela signifie que les agriculteurs ont de nombreuses options et peuvent utiliser nos solutions sans avoir à modifier leurs pratiques agricoles. Nos engrais et biostimulants sont conçus pour fonctionner efficacement avec différentes méthodes d'application. Van Iperen International propose une large sélection d'engrais spéciaux et de biostimulants qui sont adaptables à plusieurs méthodes d'application. Les quatre méthodes de fertilisation sont l'application foliaire, la fertilisation en plein champ, l'application au sol ou la culture en serre.
Marthe Auger
Marthe Auger
2025-08-06 13:21:05
Nombre de réponses : 14
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Les bases du raisonnement de la fertilisation PK, établies par le Comifer, reposent sur quatre critères : l’exigence des espèces cultivées, l’analyse de terre, le passé récent de fertilisation et la restitution ou non des résidus de culture du précédent. L’exigence des espèces cultivées est une caractéristique des espèces, liée à la nature de leur système radiculaire ou au rôle de P et K dans l’élaboration de leur production. L’analyse de terre constituent des indicateurs de leur niveau de disponibilité dans le sol. Le passé récent de fertilisation est également un critère à considérer pour déterminer les besoins en fertilisation. La restitution ou non des résidus de culture du précédent est le dernier critère, avec la restitution des résidus de récolte du précédent équivalant à un apport important de K2O.