Que peut-on faire en permaculture au potager en février ?

Voici les phrases textuelles qui répondent à la question : En février , j’en fout partout où il y aura besoin d’azote et de paillage en avril-mai. J’ai planté des pois mange-tout le long de tous les grillages, qui leur serviront de tuteurs. J’ai continué à planter de l’ail, surtout au pied des arbres fragiles, où sensibles aux ravageurs. Au passage, j’ai semé les graines de plantain autour des plates-bandes. En dehors de leurs vertus médicinales, je m’en serts pour créer une barrière contre les invasions d’herbes folles. J’ai disséminé des graines de plantes médicinales. Sur les zones érodées, et à l’aplomb de la couronne des arbres pour éloigner les insectes prédateurs. Semis protégés, mais extérieurs des salades, essais de carottes en pleine terre sur une terre bien préparée, et très propre. Semis intérieurs des tomates et poivrons. Plantation de tubercules de curcuma. Peut-être que je vais remettre ça avec les patates douces. Il faut les couper, les mettre en terre bien humide près du radiateur, sous la fenêtre la plus lumineuse. Bichonner mes espaces de culture : On regarde, donne à manger, rectifie les courbes pour bien ralentir l’eau. Libérer les espaces qui seraient en trop, les redonner à la nature, avec des graines de plantes sauvages, c’est sympa, et gratuit. Si je pense manquer d’espace, je prépare des plates bandes en déposant de la paille. Ça me donne une idée de l’esthétisme du projet. Quand c’est décidé, je pisse dessus, et je couvre. Je reviendrai dans trois semaines greliner, et planter.

Vous pouvez semer en extérieur les asperges, la ciboulette, les fèves, les échalotes, les épinards, les navets, les petits pois, les radis, la rhubarbe et la roquette. Pensez à pailler pour protéger vos semis des derniers frimas et garder l’humidité du sol. Pour les espèces plus frileuses et les régions où le froid aime bien rester un peu plus longtemps, on opte plutôt pour des semis en contenants à l’intérieur, bien au chaud : les aubergines, le basilic, les concombres, les melons, les pastèques, les piments, les poivrons et les tomates précoces. Utilisez une mini-serre ou un tapis chauffant pour favoriser la germination rapide. Une serre froide permet d’allonger la saison des cultures sans chauffage. Pour ceux qui en possède une, quelques variétés supportent bien un semis sous serre non chauffée : les artichauts, les brocolis, les carottes à forcer, les céleris-raves et branches, les choux pommés hâtifs, les choux-fleurs, les choux-raves, les choux de Bruxelles, les épinards, les laitues, les oignons blancs et les poireaux.

Observer et planifier : Avant de commencer, passez du temps dans votre jardin pour observer l’ensoleillement, les zones d’ombre, le drainage de l’eau, et tout autre élément naturel. Concevoir votre jardin : Utilisez les principes de la permaculture pour concevoir votre jardin. Préparer le sol sans le retourner : Créer des lasagnes de jardin en étalant une couche de carton, puis ajouter des couches de matière organique comme compost, feuilles, paille, et terreau. Choisir des plantes résistantes au froid : En février, optez pour des plantes résistantes au froid, telles que les légumes-feuilles comme la mâche, les épinards et certaines laitues, ou des plantes vivaces comestibles comme les artichauts ou les asperges. Protéger vos plantes : Utilisez des tunnels ou des voiles d’hivernage pour protéger vos cultures des derniers froids. Planter pour attirer les auxiliaires : Intégrez des fleurs et des plantes indigènes pour attirer les pollinisateurs et les insectes utiles qui aideront à lutter contre les ravageurs naturellement. Optimiser l’utilisation de l’eau : Créez des cuvettes de rétention d’eau ou utilisez des systèmes de récupération d’eau de pluie pour économiser l’eau et l’utiliser de manière plus efficace.