L’utilisation des pratiques d’agriculture durable implique l’utilisation de méthodes de culture respectueuses de l’environnement, proches de l’agriculture durable et à faible impact écologique, telles que la réduction de l’utilisation excessive de pesticides, l’optimisation des engrais dans les cultures intensives et la collecte des eaux de pluie pour l’irrigation des cultures.
L’incorporation de l’agriculture de conservation consiste à cultiver les sols sans mécanisation, ce qui réduit le compactage du sol et augmente l’activité biologique, entraînant ainsi une meilleure fertilité du sol.
L’utilisation des pratiques d’agriculture protéique comprend la production d’aliments à partir de sources alternatives et la réduction de l’utilisation de ressources naturelles intensives telles que l’eau et l’énergie.
La réduction de l’utilisation des combustibles fossiles dans les processus de culture peut être obtenue par l’adoption de technologies d’énergies renouvelables, telles que l’utilisation de panneaux solaires pour alimenter les brumisateurs, les systèmes d’irrigation et d’autres équipements.
La limitation de la quantité d’engrais et de pesticides utilisés permettra de réduire l’impact environnemental des produits chimiques libérés dans l’environnement.
Un certain nombre de stratégies ont été développées pour réduire l’empreinte carbone des cultures, dont beaucoup peuvent être mises en œuvre dans des exploitations de toutes tailles.
Il s’agit notamment, d’améliorer l’efficacité énergétique, d’opter pour une agriculture de conservation, d’utiliser des engrais durables ou de réduire l’utilisation des terres.
Certaines exploitations ont même commencé à utiliser l’énergie solaire ou à opter pour les énergies renouvelables pour répondre à leurs besoins en carburant.
Une pratique courante est l’utilisation de systèmes de pompage passif pour l’irrigation, qui exploitent l’énergie lumineuse du soleil pour le pompage de l’eau.
Cela permet de réduire la quantité de carburant nécessaire au pompage de l’eau dans l’exploitation agricole.
L’agriculture biologique et l’agriculture conventionnelle s’efforcent également de réduire l’empreinte carbone des cultures par une prise de conscience écologique, de bonnes pratiques et des méthodes de production respectueuses de l’environnement.
Cela implique l’utilisation d’engrais biologiques et conventionnels, la conservation des sols et l’utilisation de composants végétaux pour lutter contre les ravageurs.
Ces pratiques permettent de réduire la quantité de gaz à effet de serre émise par les cultures, ce qui contribue à réduire l’impact global des cultures sur le climat.