Pour préparer le sol avant la plantation, il faut commencer par travailler la terre en la retournant sur une profondeur de 45 à 50 cm à l’aide d’une bêche ou d’un motoculteur rotatif pour les grandes surfaces.
Ensuite, il faut débarrasser le sol des racines et des mauvaises herbes, des roches, etc.
Ensuite, à l’aide d’un sarcloir, on brise les mottes pour ameublir le sol.
Il faut ensuite incorporer les amendements pour fertiliser et bonifier le sol, en étendant sur les 10 à 15 premiers centimètres de votre sol un mélange de compost, tourbe de sphaigne, fumier et engrais.
Le compost et le fumier sont des sources de nutriments semblables, mais qui ne se décomposent pas en même temps, ce qui prolonge les qualités nutritionnelles du sol.
Une couche de 8 à 10 cm de matière organique est recommandée.
Il faut également ajouter de l’engrais d’os moulu ainsi qu’un engrais enracineur selon les recommandations des fabricants.
Lorsque vous avez ajouté tous les amendements, ratissez la surface pour l’égaliser le mieux possible.
Puis laissez-le se reposer, car le nouveau sol a besoin de se tasser de façon naturelle avant que vous puissiez le planter et le mettre au travail.